Après avoir porté mon shorty très peu…
Après avoir porté mon shorty très peu de temps, il s'est effilé, j'ai contacté le service client qui m'a fait bénéficier de la garantie 30 jours.
J'attends donc mon nouveau shorty avec impatience.
Merci à toute la team Cygnes pour leur réactivité.
Le made in France rassure 😃
Maltraitance au travail
J'ai été contacté sur le site Malt par une certaine Éloïse pour un contrat de prises de vues photo et vidéo à Marseille, destiné à la production de contenu promotionnel pour la marque Cygnes.
Plus tard, j'ai retrouvé cette même personne sur le site de la marque, où elle était présentée comme une cliente satisfaite qui avait mis cinq étoiles au produit. Cependant, son nom et son prénom ne correspondaient pas à ceux qu'elle m'avait donnés. J'ai donc trouvé ça très suspect et malhonnête.
Le déroulement du shooting et ses exigences:
Les deux jours de shooting se sont déroulés en apparence à merveille. J'ai choisi les lieux les plus emblématiques de la ville, et les modèles ainsi que l'équipe semblaient passer un bon moment. C'est plus tard que j'ai été accusé à tort de ne pas connaître la ville où j'habite depuis cinq ans, ce qui a été la première diffamation.
Pendant le shooting, on m'a demandé de faire de « petites retouches », ce qui n'était absolument pas inclus dans le contrat. De plus, on m'a demandé de faire des photos et des vidéos à la fois. J'ai accepté, même si je savais que c'était un travail complémentaire. Mon prix était déjà très compétitif et je voulais satisfaire la cliente, mais mon attitude flexible a été plus tard interprétée comme un manque de professionnalisme.
Même si je les sentais exigeants, voire abusifs, cela s'est confirmé par la suite. On m'a aussi demandé de m'occuper des looks, ce qui relève du travail d'un styliste et n'était pas de mon ressort.
Pour ce tournage, j'étais accompagné d'une assistante, dont j'ai inclus les frais dans mon devis. Elle a par la suite été insultée et diffamée. On a dit qu'elle « ne leur parlait pas », alors que je les avais prévenus qu'elle était une réfugiée en difficulté et qu'elle ne parlais pas le français. Ils ont aussi prétendu qu'elle avait fait des remarques désobligeantes sur le modèle « grande taille ». Après vérification, le modèle n'a absolument pas confirmé cette information mensongère.
L'arnaque révélée:
Tout se passait pourtant à merveille ; tout le monde s'entendait bien et souriait dans le groupe de discussion WhatsApp.
Après avoir retouché et livré les photos (ce qui a représenté deux jours de travail supplémentaires), la directrice m'a envoyé un message diffamatoire, où elle critiquait 100 % des vidéos, les jugeant inutilisables, et affirmait que 70 % de mes photos étaient ratées. On m'a également reproché de ne pas avoir suivi le moodboard à la lettre, une critique que je n'avais jamais subie en 13 ans de carrière en tant que photographe. Un moodboard est un support d'inspiration pour le photographe, pas un guide à suivre à la lettre.
Or, toutes les photos sont utilisées sur leur compte Instagram et ne sont absolument pas ratées. Elle voulait simplement me diffamer pour obtenir une réduction considérable. De plus, les vidéos prétendument inutilisables ont été utilisées dans une story Instagram, sans mon accord.
Pour couronner le tout, je n'ai eu droit à aucune mention ou référence de mon travail sur les publications Instagram ou le site web, alors que je n'avais pas cédé mes droits d'auteur.
J'ai fait part de cette injustice à la directrice, Inès, et lui ai demandé une réparation. Elle a ignoré mon message. J'ai relancé une fois, mais je n'ai eu aucune réponse.
Bref, j'ai contacté un avocat pour porter plainte contre cette arnaque caractérisée, cet abus de confiance et la diffamation dont j'ai été victime.